Les choses que j'aurais aimée savoir avant d'aller en Belgique
Belgique
Publié par EmelineJoly le 16.10.2024
Nous sommes voisins mais croyez-moi, même si nous partageons une frontière, nos modes de fonctionnement sont aussi différents qu’une frites-mayo et un sushi.
Pour commencer le règne des bornes :
Tout fonctionne sur une borne, comme si la technologie avait décidé de nous torturer. Pour l’essence, il faut d’abord fixer un montant à payer, puis se servir. Attention, choisissez bien la station, car vous pourriez finir par financer la prochaine voiture de quelqu’un d’autre. Une belle façon de partager la richesse, non ?
Pour le tabac, direction le supermarché ! Mais ne vous attendez pas à une simple caisse. Non, il faut trouver une borne, sélectionner votre tabac, payer en caisse, puis aller chercher votre butin dans un distributeur, pourquoi ce faciliter la vie quand on peut faire compliquer cela prend littéralement 15 minutes pour chercher un tabac mieux vos faire son stock.
Pour le parking, c’est la même chose. Trouver une borne pour payer son stationnement qui, pour une raison mystérieuse, n'est jamais indiquée. C’est comme une chasse au trésor, encore une fois c'est infernale.
Ensuite je me retrouve dans un petit village où les boutiques se fondent dans les maisons. Prêt-à-porter ou alimentaire, c’est un vrai festival de camouflages. Il faut avoir les yeux bien ouverts pour dénicher quelque chose.
L’eau du robinet ? Parfois potable, parfois pas. C’est un peu comme jouer à la roulette russe, mais avec votre santé. Alors mieux vaut investir dans de l’eau en bouteille. Croyez-moi, j’en ai payé le prix fort… littéralement.
La signalisation en Belgique est un véritable chef-d'œuvre d’ambiguïté. En période de travaux, vous ne roulez pas à 90 km/h, mais à 70. Un vrai cadeau pour ceux qui adorent faire du surplace. Le seul avantage, c’est qu’ils ouvrent la voie d’arrêt d’urgence pour que vous puissiez faire la course avec les autres malheureux.
Les bouchons sont constants, comme une mauvaise blague qui ne finit jamais. Sur l’autoroute, c’est souvent à cause des travaux, mais aussi du trafic. Dans les villes et villages, les vélos ajoutent leur touche au chaos. Même si c’est une ville verte, il n’y a pas toujours de pistes cyclables. Chaque trajet est un marathon épuisant, et je n’en peux plus.
En résumé, armez-vous de patience pour vous adapter à ce mode de vie. J’aurais aimé savoir tout cela avant, histoire d’éviter de me retrouver dans des situations aussi délicates.
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